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10 |19 NOVIEMBRE 2022

 

BARNIZADO 10 NOVIEMBRE 18 | 21 H

GALERÍA MA-EC

Palacio Durini

Via Santa Maria Valle 2 – Milán

Con Experiencia Artemida, J’ai l’honneur de participer à cette magnifique exposition « I have a dream » installée dans la prestigieuse @maecgallery, en el corazón de Milán y promovido por el periodista @ milanotoday.it.

L’exposition présentera les œuvres de 50 artistes de toute l’Europe, que tratará el tema de la discriminación racial, du genre et de la liberté d’être toujours soi-même, sin mascara.

Le jour de l’ouverture, el conservador@ maxwelldone1986 présentera l’événement avec l’acteur Rai et Netflix @liviocono.

entre los invitados, nous aurons également l’intervention de l’avocat Guariso de @asgi_italia qui traitera les arguments d’un point de vue juridique.

Lors du vernissage à partir de 18h il y aura également un pot d’accueil offert à nos visiteurs par @jacacomer, con sus productos orgánicos y súper alimentos.

Absolutamente no te puedes perder este gran evento firmado @experiencia_artemida.

Concernant choix de l’œuvre présentéeNotre Dame de Paris”, le message porté est celui de la discrimination des femmes dans l’Église catholique (1), c’est-à-dire de leur non accès aux responsabilités de gouverner, d’enseigner et de sanctifier, en fonction de l’appartenance sexuelle. Cela pourrait se traiter par une meilleure mise en conformité de cette Église aux principes mêmes d’égalité de sexes qu’elle soutient ?

La « liberté de religion » exonère aujourd’hui, de fait, l’Église catholique d’une révision de ses dispositions et argumentaires relatifs à l’exclusion des femmes des fonctions culturelles.

Mais peut-être est-il temps et nécessaire de mettre le doigt sur l’incompatibilité de l’exclusion des femmes des responsabilités de gouverner, d’enseigner et de sanctifier avec les droits qui affirment et promeuvent l’égalité des sexes ?

Les États, au travers de leurs instances communes, l’Europe, n’ont-ils pas le devoir de protéger les femmes contre les violations de leurs droits faites « au nom de Dieu » ?

Comment peut-on encore, en matière de droits des femmes, « céder » au « religieux » ?

Cette approche juridique ne serait-elle finalement pas la seule possible pour venir à bout des résistances et stratégies de refus de l’égalité des sexes dans l’Église catholique ?

 

Nombre de catholiques , hommes et femmes , ont constaté et dénoncé « l’asymétrie » et les inégalités existantes entre le rôle religieux de la femme et celui de l’homme dans l’Église catholique.

Elles/ils ont montré, assez et depuis longtemps, qu’aucun des arguments du magistère ne justifie l’exclusion des femmes des responsabilités de gouverner, d’enseigner et de sanctifier.

 

L’exclusion des femmes aux fonctions cultuelles, aux responsabilités de gouverner, d’enseigner et de sanctifier peut être qualifiée de discrimination et doit faire l’objet d’une interdiction en droit.

Le principe d’interdiction des discriminations, affirmé en droit international, en droit européen est « un principe transversal à tous les droits de la personne humaine ».

Il est lié aux principes d’égalité et de dignité des personnes.

Sur le plan juridique, la discrimination sexuelle est considérée comme étant incompatible avec la dignité humaine.

La discrimination à l’encontre des femmes viole les principes de l’égalité des droits et du respect de la dignité humaine.

Le sexe figure, sur le plan juridique, parmi les points de différenciation estimés illégitimes.

Les distinctions de fonctions entre les hommes et les femmes dans l’Église ne sont -elles discriminatoires car réservant les « positions de pouvoir » aux hommes et limitant « la gamme des options » de choix de vie des femmes ?

 

Cette différenciation des rôles entre les sexes dans l’Église ne suppose-elle pas une autre inégalité, tenant à la conception du féminin et du masculin ?

La différence de valeur que l’on accorde à l’un et l’autre sexe, la distinction du féminin et du masculin, les différences naturelles affirmées, ne conduisent-elles pas au maintien d’inégalités à tous les niveaux ?

Les distinctions fondées sur le sexe ne sont-elles pas à interdites dans l’Église en tant que discriminations, parce qu’elles mettent en cause des attributions de l’« être vivant » ?

 

La voie juridique pour mettre fin aux discriminations dans l’Église ? Une voie peut-être puisque l’Église persévère à justifier le non accès des femmes aux charges cultuelles, sacramentelles et gouvernementales.

Les chrétien/nes ont le droit de participer pleinement à la vie sacramentelle de l’Église sans « considération de sexe » et ont le droit d’être désignées pour toutes les fonctions et tous les ministères et comme candidats à l’élection pour toutes les assemblées.

Un jour viendra où l’Église catholique sera regardée comme une institution dont il faut instruire le procès et faire condamner.

 

 

Teléfono y WhatsApp

+33 06 72 27 47 65 (Francia)

+351 912 61 54 07 (Portugal)

correo contact@lenon-b.com

 

(1) d’après un article de Patrice Dunois-Canette journaliste #art #artist #contemporaryart #contemporaryartist #exhibition #artgallery #milan #artevent #artista #arte #artecontemporanea #artistacontemporaneo #arteitaliana #exhibition #galleriadarte #exhibition #performance #artcurator #lgbtitalia #artemida #dirittihuman #discrimination

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